Rencontre avec des larbins

Je marchais tranquillement dans les coins de la ville où personne n'osait aller en raison de la présence de nombreuse "brutes, racailles et voleurs"... Ma foi, rien de mieux qu'un tel endroit pour se détendre un coup... Je ne comprend vraiment pas les gens...
Je m'installe donc à une terrasse dont le bar est toujours fermé en attendant que les forces de l'ordre fassent régner la loi sur ces routes, ce qui ne sera à mon avis jamais le cas. Ici, personne n'ose m'agresser. Je suis déjà venu plusieurs fois et j'ai défait la plupart des chef de gang environnant. Limite, je contrôle la zone et ce sont tous mes larbins.
Je me suis levé, et je suis allé chercher les cagoulés derrière un bâtiment. Je leur ai proposé un marché, afin que cela devienne officiel : que touts les gang dénué de chef soient sous mon contrôle. De peur, ils acceptèrent au nom de tous et s'empressèrent de diffuser la nouvelle. Contre toute attende, ce ne sont pas des crises de larmes qui se faisaient entendre mais des hurlements de joies : c'est vrai, ils allaient enfin ne plus avoir à faire avec mon poing.
C'est ainsi que le quartier retrouva un peu de sa vigueur : Le bar ouvrit rien que pour moi... que c'est gentiiiiiiil!! Je commande donc un Ice Tea bien frais.
Quelques heures passèrent, je discutais avec mes nouveaux "soldats" afin de mieux connaître les lieux et m'établir une "base".

Durant plusieurs heures, mes sbires cherchèrent et trouvèrent ma planque idéale. Bien évidemment, celle-ci devait resté secrète.
La planque était un maison abandonnée toute simple... d'apparence. A l'intérieur se trouvait sous un tapis une trappe qui menait à un sinistre couloir. Parfait pour dissuader les curieux un peu trop téméraire qui se sentirait tout chaud simplement pour avoir battu quelque un de mes hommes de main. Au bout se tenait une grande salle vide et poussiéreuse. Je m’empressais donc de la nettoyer, puis de la meubler avec le contenu d'autres maisons abandonnés avoisinantes. Au final, le bureau faisait son effet de "salle du boss" : Un Grand bureau en bois, bien rangé avec tout le matos d'un boss : stylo, feuille, tampon et agrafeuse. Sur les côtés de grandes bibliothèques que j'ai "forgé" dans la pierre à l'aide de mon katana. J'ai remplis avec tout les livres que je pouvais trouver. Je me penchais sur l'un des livres pour en voir l'auteur. Machiavelli, hein?...
Après le rangement, je suis sorti prendre un peu l'air. En retournant sur la terrasse de tout à l'heure, je suis tombé sur une bande de "pas-beau" armée plus que la normale du coin. Il semblait aussi par leur tenue vestimentaire très similaires qu'ils avaient certainement le même patron. Je souri, car enfin j'allais pouvoir me défouler après la défaite contre le boss.


Le plus grand, armée d'un lance-grenade, cracha et répondit


Puis il tira sur moi, donnant ainsi le signal de feu pour ses sbires. J'hurlais à mes sbires de reculer. Il fallait que je crée une nouvelle technique afin de prendre ma revanche. J'ai exécuté un Scudo-nebbia Folgorante dont j'ai modifié la capacité : Elle enfermerait le lanceur et la cible, privant tout les deux de leur capacités, sans exceptions, leur laissant alors uniquement leur muscles comme seule arme. Parfait pour les combat au corps à corps purs. J'ai improvisé le nom de ma nouvelle technique tout en vérifiant si ma lame était privée de son pouvoir naturel, ce qui était le cas, puis je dit a mes adversaires dans un sourire narquois :


Cette technique était plutôt simple à la réalisation... Pourquoi n'y ai-je pas pensé avant? Mais cette technique ne suffirait certainement pas à gagner... Je suis certain que le boss est bien plus fort que moi : il suffisait de me remémorer les sauts qu'il pouvait effectués lors de notre combat pour comprendre à quel point je manquait d'entraînement. J'allais donc m'amuser sur mes adversaires quelque-peu dérouté par ma technique, en attendant d'y repenser plus profondément.
J'avais la flemme de me servir de mon épée, donc j'ai foncé dans le tas. Leur chef lança alors une grenade à ma rencontre. Je la saisi au vol, l'esquivant par la même occasion et l'envoya exploser juste au dessus d'eux afin de leur faire comprendre que ces attaques futiles ne servaient à rien. Puis je l'ai chopé par la tête et il m'a servi de masse : je frappais ses hommes avec son corps.
Le petit défouloir terminé, j'interrompis le dôme et je demandais à mes sbires de les traîner et de me suivre. Je redescendis dans mon bureau et je creusai une cavité où mes hommes jetèrent ceux qui ont espéré me faire la peau. En guise de barreau, j'en fis avec mon brouillard. En patron sympathique, les armes, pare-balles et autres matériels collectés sur nos attaquant, je les aient donné à ceux qui me semblaient les plus tactiques, et je leur promettait que si je venais à obtenir d'autres fournitures, je leur ferais savoir. Puis, je les congédiais à leur activités habituelles, m'enfermant ainsi dans mon bureau en attendant que mes prisonniers se réveillent.

J'attendis peu longtemps avant de pouvoir questionné les intrus. En effet, ils se réveillèrent après une bonne heure de sieste. Les hommes se ruèrent vers le fond de la toute petite grotte creusée il y a peu. Seul leur chef restait assis en tailleur au centre, en protecteur de ses sbires. Je l'observait longuement, puis je sourit : il ne me répondrait certainement pas sous les menaces et les paroles. Donc je me mis à creuser une seconde cavité à l'opposé, avec cette fois ci, un couloir afin que la cavité au fond n'y soit pas visible de l'extérieur. Puis, j'ai ouvert la prison et j'ai traîné leur chef sous la menace de se faire trancher la gorge. Puis, je l'ai jeté sans ménagement dans le fond de la nouvelle salle...
J'ai jeté à mon captif :


L'homme ne semblait pas avoir peur. C'est très certainement parce que la salle était très... vide.



Puis, je m’exécutait à faire un Frusta del castigo. La puissance largement réduite par rapport à l'original, elle pouvait certainement faire parler un "nabot-chef" comme j'aime appelé les chefs-larbins. Je m'empressait de faire une petite démonstration. Je claque mon petit fouet peu menaçant sur le mur à côté de moi, laissant une marque qui me surpris moi même. La trace devait au moins avoir 3 centimètres de profondeur. Ce n'est pas beaucoup, mais laaaaaargement suffisant pour dissuadé n'importe qui.

"Tu ne veux toujours pas parler?"

Il ne répondit toujours pas. Ma patience à des limites. Donc je l'ai entouré de mon fouet, veillant à ce que celui ci soit assez serré. Puis, j'ai mis des piles dans le fouet de brouillard, ce qui l'électrisa instantanément. L'homme hurla de douleur. Je n'aime pas ce bruit. Je n'aime pas tuer mais il fallait que je le fasse parler. J'ai continué ma torture pendant 5 minutes, jusqu'à ce que l'homme fit un signe pour me demandé d’arrêter , en homme qui va parler.




Et je l'ai assommé. Puis, j'ai demandé à mes propres sbires d'en faire de même avec les autres restés dans leur prison.


Puis je suis sorti en veillant à ce que la trappe soit bien caché. J'en ai même profité pour mettre un épais mur de "brouillard à haute tension" juste en dessous de la trappe. Si quelqu'un réussissait à le passer, je le saurais de suite.
Puis, je me dirigeais vers le bar d'il y a quelques heures et on me servis un cappuccino chocolat-banane avec un supplément crème fouetté. Je commençait à prendre goût d'être à la tête d'hommes. Il faudra que chacun d'eux me montre sa spécialité; j'avais besoins de mécaniciens et d'homme étant spécialisé dans la technologie très avancé.
Mais pour le moment, je préfère me détendre sur cette terrasse et parler avec mes hommes, car pour être un leader parfait, il fallait que je connaisse chacun d'eux...

Mon Cappuccino était exquis. Je savourais encore le reste de chocolat collé sur mon palais. Une bonne journée, en somme. Puis, l'agitation se faisait sentir parmi mes hommes et un d'eux, un jeune plutôt mince qui semblait très agile me murmura ce qui causait des troubles dans mes troupes : quelqu'un venait de rentrer sur mon territoire, et il semblait un peu trop inconscient pour être fou.


Puis on a continué à parler. Le plus baraqué de tous semblait très intelligent. Il devait certainement être l'un des anciens chefs de gang du coin... En tout cas, son intelligence me plaisait. Je l'ai mis à la tête du groupe "Défensif" que j'ai mis en place.

Puis vint l'homme dont parlais le jeune tout à l'heure. D'abord, une silhouette se dessina entre mes hommes,et j'entendis :


Je reconnaissais cette voix, mais je ne fis rien. Puis les deux hommes qu'avait mis en place le nouveau chef du groupe "Défensif" s'agitèrent. Le nouvel arrivant les esquiva sans problème, sans étonnement. Genki.
Il s'installa confortablement à ma table et me répondit :


D'abord, je l'ai observé. Puis je lui ai dit :


Puis je l'ai amené à l'intérieur du bar. On s'est installé confortablement sur le bar.

"La même chose que tout a l'heure pour nous deux."

Et le barman improvisé nous à refait un cappuccino. On pris une gorgée en synchronisé, puis un répit de quelques secondes, afin de le laisser apprécier la boisson. Puis, je pris un air un peu plus sérieux et plus détendu. J'avais beau avoir une envie de vengeance envers ce type, il n'en restait pas moins le genre de gars que j'apprécie. J'ai demandé à tout le monde de sortir et de retourner faire ce qu'ils veulent dehors.

"Alors? Quels sont vos demandes, Boss?"

En s'installant sur le bar, après avoir but le cappucinno, Genki fit comme à son aise et alla se servir dans le frigo du bar. Puis il s'est réinstallé comme s'il n'avais pas bougé d'un pouce.


En entendant cela, j'ai arqué un sourcil. Quelle coïncidence!


J'attendais sa réaction, voir s'il me rapporterai de quoi exécuter sa demande. Je n'imaginais pas son grand père comme étant quelqu'un de très dangereux, mais j'espérait que ses hommes aient assez de puissance pour m'occuper. C'était aussi l'occasion d'obtenir de matériel nécessaire pour commencer à donner plus de puissance de feu à mes hommes. De plus, le manque cruel de scientifique et le peu de personnes qualifiés à soigner convenablement une blessure rendait mon système d'unité assez ridicule. Il fallait que je trouve une solution pour ce genre de problème.
Maintenant il fallait faire avec et il comptait bien réussir.

Lorsque Genki appris que j'avais capturé les hommes de son grand père, son visage se transforma en celle d'une gargouille. Limite il m'aurait fais peur, si je ne savais pas à quoi m'en tenir. Il haïssait vraiment son grand père... Il devait lui avoir fait beaucoup de tords.


Puis il s'est calmé. Après une pause, il rajouta :


Je souri vite fait. Puis je reprend un air sérieux pour parler de ces otages.


Je sentais déjà la pression de l'énervement de Genki face à cette dernière révélation. Je n'en fis rien et j'ai continué.


Sans attendre un retour de réponse, je me dirigeais vers mes hommes qui m'attendaient dehors.


Les concernés se sont rapprochés, je leur ai brièvement expliqué les détails et ils acceptèrent d'amener Genki la ou se trouvaient les hommes de son grand père.

J'était ébahi. Et je rageais. Comment ce type osait prendre la vie d'une personne qui ne connaissait même pas l'histoire de ces deux hommes, de simples soldats qui ne demandaient qu'a être payé en échange d'un bon travail pour pouvoir vivre convenablement? Puis j'ai éclaté. Une aura électrique s'est fait sentir d'un coup. Il suffisait de me toucher pour se faire électrocuter.


Puis tout les débris qui se trouvais autour de moi furent foudroyé et réduit à l'état de flaque. J'hurlais intérieurement. Je connaissait la mort, elle qui avait tué mes parents, elle qui m'a empêché de vivre une vie normale. L'acte que Genki avais commis était impardonnable à mes yeux, et j'exigeais de lui pouvoir faire payer le prix de cet action immorale.
Sans m'en rendre compte, je pleurais. Je pleurais de rage, de tristesse. Un orage se fit entendre. Mon brouillard enveloppait une grande partie du ciel, bombé d'électricité.


Le mot "tuer" me restait en travers de la gorge. Il pouvais tuer son grand-père par vengeance, cela ne me dérangeais pas, mais ses hommes ne font que lui obéir, sans savoir.
J'allais me lâcher, car nous étions encore dans un coin inhabité de la ville. Je serrais les poings et j'ai fondu à toute vitesse sur lui en hurlant.


Et l'orage retentis, dévoilant ma rage au grand jour.

Encore une fois, j'était dans une situation humiliante. Je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Lorsqu'il m'a sorti ses pensées, je ne pouvais que m'énerver encore plus. Ce n'était pas une question d'être au pays des bisounours ou non, c'était une question de droit. Quand Genki fit l'allusion à mes hommes, ce n'était pas faux, mais il manquait un détail dans son analyse.


Puis, prenant appui sur l'un des murs, je me suis propulsé à nouveau vers Genki, l'esprit moins aveuglé. Cette fois-ci, je n'allais combattre, non plus seulement pour l'homme qu'il avait tué, mais aussi pour moi. Ce combat me servirait d'entraînement. Et c'est pour cela que je mis ma nouvelle technique à l'oeuvre.


Le brouillard qui était dans le ciel descendit aussi vivement qu'un éclair, et je me retrouvais enfermé dans le dôme avec Genki. Puis, j'essuyait mes yeux rougis et j'ai retiré ma veste et ma chemise, laissant apparaître un corps musclé, mais meurtri par les années où j'exerçait des vols. J'ai posé mon katana sur le côté, en prenant mon temps et je me suis mis à l'opposé de mon adversaire, en lui laissant le temps de testé si ses pouvoirs marchaient ou pas, ceux-ci ne marchant pas dans mon Enfer.
Dans un sourire de satisfaction, j'ai lentement pris une garde improvisé, montrant au boss que j'avais l'intention de me battre autrement que d'habitude.

D'abord, j'observais ses capacités hors de ses pouvoirs. Je voulais encaissé ses premières attaques afin de jauger son ingéniosité et sa force de frappe. Tout d'abord, il essaya de passer en dessous de moi. il voulait certainement attaquer par derrière. Je le laissais faire. Néanmoins, je l'ai plutôt regretter : il me donna un coup dans le dos, et ce n'était pas comparable a une gentille baffe. Puis il esquiva un coup imaginaire. Technique ingénieuse d'éviter de se faire toucher et de laisser ses adversaire penser qu'il pouvait voir les mouvements arrivés. Puis, il jeta sa veste sur moi. Je ne m'y attendais pas et Genki heurta mon coude. Intéressant. Maintenant, il s'était reculé en s'attendant à une attaque, et il avais bien raison. j'ai commencé par augmenter la pression en faisant semblant que ses coups ne m'avaient rien fait. Puis, arrivé à portée du Boss, j'ai mis 2/3 de ma force dans mon poings et j'ai hurlé :


Avec la force du coup, ses pieds glissèrent de plusieurs centimètres. Puis j'y allais plus sérieusement. Je l'ai assailli de coups plus rapide que puissant, puis, j'ai terminé par un crochet, le touchant au côté gauche de son visage. Puis, j'ai reculé en zig zag et je me suis mis en position de course, comme pour se ruer vers le Boss dès qu'un signal imaginaire m'en donnait l'autorisation.

La force du coup m'avait complètement étourdis sur le moment, le coup de pied du boss m'avait ravagé. Mais il avait fait une gaffe : il a continué en donnant des coups de poings, qui m'ont réveillé. Putain, sa faisait quand même un mal de chien.

"Oy, oy... Ne m'fais pas rire... J'crois je t'ai surestimé..."

La tête que j'avais à ce moment

Il semblait réfléchir dans sa posture actuelle. En stratège, il devait certainement se demander quel genre de coup il me ferait pour gagner. Puis stratégiquement, je lui ai foncé dessus encore une fois, mais cette fois ci en zig zag. Puis pour surprendre mon coup, j'ai balayé ses jambes puis je lui ai rendu son coup de pied. J'ai misé pas mal de force sur ce coup de pied renversé avec lequel je l'ai frappé. Cette fois ci, il était à terre, et je me doutait bien qu'il se relèverait. Il le devais s'il ne voulais pas être pris pour un faible, de toutes manières.

"Relève toi, bas toi, je vais te faire regretter ton fake coup de pied."

Puis je m'éloignait, car on est jamais trop prudent. Cette démonstration de force devait avoir une fin, il fallait que je la gagne.

J'ai pris cher. Très cher. Les derniers coups du boss m'ont eut de plein fouet, et il fallait que je récupère. Je me relève encore en haletant, et je réfléchissant à une nouvelle tactique.


Et usant de mes dernières forces, me surpassant je fonçais sur Genki, lui faisant croire que j'allais l'attaquer de côté. Mais au bout du compte, je lui ai donné un coup avec toute la puissance de frappe qu'il me restait. Je lui avait mis un Jolt Counter, sans attendre une attaque de la part du boss.

L'attaque de ce moment

Ensuite, le boss étant par terre, je m'écroulais, sans aucune force en plus, annulant ainsi mon Inferno. Je fermais les yeux, je ne voulais même pas savoir si j'avais gagné ou non et je me suis ainsi mis automatiquement dans une phase de sommeil, comme si j'était inconscient, mais que j'avais fais exprès. Avec ce combat, mon manque d'entraînement fut souligné. Il fallait vraiment que j'y remédie.

Mes hommes se ruaient vers moi afin de me porter secours. Le plus grand, celui que j'avais gradé à la défense était la, et à décidé de me porter, lorsque Genki est parti. Seulement deux fois que je me suis battu avec lui, j'en avais marre de perdre. Il fallait que je me renforce. Il me fallait un sport de combat. Arrivé à la terrasse, j'ai encore une fois commandé un cappuccino. Je n'arrivais pas à m'en passer et il me tenait réveillé, me redonnais des forces. Puis ceux que j'avais mis dans l'unité médicale arrivèrent. Ce n'était pas vraiment des médecins mais ils connaissaient les premiers soins et me bandèrent la ou les bleus commençait à apparaître. Une fois bandé, je me suis dirigés vers la ville, afin de voir si un sport de combat à main nue pouvait y être intéressant.