Arrivé dans le manoir

Giacomo abandonna sa moto à l'entrée du manoir. Silencieusement, il parcourut l'allée remontant le long du petit parc vers l'entrée du bâtiment. Jolie bâtisse... L'architecture était clairement occidentale. On voyait que la demeure avait été construite pour une famille appartenant à la Mafia. De plus, les hommes envoyés par ses soins, la veille au soir, avaient apparemment fait du bon travail. Certains avaient dépêché d'excellents ouvriers sur place, remettant à neuf en un temps record les parties les plus abîmées de la façade et des murs intérieurs; d'autres avaient usé de leur influence afin que le courant soit immédiatement rétabli sur place. Tout paraissait n'avoir jamais été abandonné.

D'ailleurs, à propos de courant, les lumières étaient allumées.

L'expression du Leandro s'assombrit. Le jeune emmerdeur devait déjà être là. Pas de chance; il aurait bien aimé pouvoir prendre ses aises, faire un repérage approfondi de l'endroit. Il avait déjà eu l'occasion de visiter le manoir, mais très brièvement, lors de son enquête visant à retrouver les rejetons Beniko. Autant dire qu'il ne se rappelait plus de grand-chose, depuis.

Quelque part, non loin de l'entrée, le bruit d'un téléviseur allumé résonnait dans le silence matinal.

D'un pas souple, assourdissant au maximum les sons réguliers produits par ses talons, Giacomo pénétra dans le hall d'entrée, se dirigeant discrètement vers la source sonore. Devant une nouvelle porte ouverte, il stoppa tout mouvement; avec mille précautions, sans geste trop brusque, il tira d'une poche intérieure un petit miroir à l'aide duquel il jeta un coup d'oeil à l'intérieur de cette nouvelle pièce. Et il lâcha un sourire. Le Beniko était bien là, affalé sur le canapé comme une loque humaine dans une position à mi-chemin entre assise et allongée. Si Giacomo se faisait discret dès le départ, c'était pour agir en premier et mettre le boss en devenir dans l'ambiance sitôt arrivé à l'endroit où il se sentait probablement le plus en sécurité. Là, même pas besoin de se camoufler - il lui offrait sa revanche sur un plateau d'argent.

Faisant tout de même attention à ne pas réveiller Genki, le mafioso pénétra dans le salon; avisant une sorte de meuble en bois laqué formant l'angle de deux murs, dans un recoin plus sombre que les autres, il alla s'y asseoir en tailleur. Sa main droite, index et majeur tendus vers l'avant, se leva; une petite sphère enflammée de couleur jaune se forma bientôt à l'extrémité de ces derniers, tournoyant et prenant de l'ampleur jusqu'à faire grosso modo la taille d'une prune. La sphère en question partit alors d'un seul coup, sans un son, allant frapper sa cible un peu au-dessus du plexus.

Toujours sourire aux lèvres, chapeau rabattu sur les yeux, Giacomo ne bougea pas et se contenta de tirer de sa veste le Smith & Wesson qui lui servait d'arme de poing. Distraitement, il joua avec la crosse de l'arme, surveillant du coin de l'oeil le sommeil déjà agité du Beniko. Dans un instant, le martèlement de son coeur affolé le réveillerait très probablement; cela ne le tuerait pas - s'il n'était pas cardiaque, du moins -, mais une bonne frayeur lui serait très instructrice. Et s'il désirait riposter, eh bien, les deux hommes pourraient vérifier ce qui possédait la plus haute vitesse: l'activation et l'utilisation de l'anneau porté par l'héritier, ou bien une balle de pistolet à canon court tirée par un tueur à gages averti.

Avec un plaisir évident, Giacomo murmura:


- Toujours rester alerte; c'est l'une des bases de la survie d'un mafioso, bonhomme...

Je suis fatigué. Mon combat contre celui qui se dénomme Genki m'a vraisemblablement exténué.
En me réveillant, j'ai trouvé une lettre m'indiquant une adresse. J'avais peut-être perdu, mais je suis capable de m'avouer vaincu et appliquer une vengeance plus tard.
Je sortis donc de l'hôtel et je me suis rendu à l'adresse indiqué. C'est sur, ce n'était pas à côté, mais cela me faisait de l'exercice. Sur la route, je réfléchissait. "Comment faire pour que ce satané pouvoir de gravité ne puisse faire effet sur moi?".
A cette question, il n'y à pas 36 000 solutions : je devais augmenter ma puissance et ainsi, quand je passerai en vitesse maximum, j'irai assez vite pour qu'il ne puisse même plus me toucher.
arrivé au manoir, j'observais la construction qui s'étalait devant moi. Une grande baraque qui faisait plutôt bourge. Ayant une excellente vue, je remarquais des coins dont la peinture n'avais pas finie de séché, faute d'humidité. Cette maison à surement été retapé il n'y a guère longtemps.

J'ouvris le portail et me dirigeais vers la porte d'entrée, que j'ouvris avec discrétion, espérant surprendre celui qui est mon boss dorénavant, et lui montrer qui est le plus fort. Je me servis de mon brouillard pour léviter légèrement, afin que le bruit de mes pas ne s'entende pas. Je me dirigeais vers la source d'un bruit qui semblait être une télévision.
Tel un hiboux et son vol silencieux, je me rapprochais quand je vis une silhouette d'une personne que je ne connaissais pas. Je me cachais d'abord derrière un mur et je patientais afin de connaître les intentions de l'homme. Quand je vis qu'il préparais une espèce de boule de feu, je me disais bien qu'il préparais quelques chose de louche : il lui tira dessus avec. Je ne me préoccupait même pas de Genki : l'homme était en train de me voler ma revanche! Quand il retira son flingue de son étui, j'ai lancé mon brouillard, camouflé dans l'ombre de la pièce.


Mon brouillard saisit alors ses membres, l'enveloppant totalement dans une couche de brouillard électrifié. Je fis un sourire sadique.

Puis j'ai pris un air sérieux et j'ai pointé mon katana sur lui.

La question d'Hitsuro fut complètement ignorée , il s'y attendait , après tout ça aurait parut bizarre que l'homme au canon réponde directement a sa question . Hitsuro ne fut pas non plus étonne quand son frère colla l'homme contre le mur . Mais ce qui étonna le Beniko fut le fait que l'homme se laissa faire . Quand son frère en eu finit avec lui , il le lâcha et partit avec l'homme qu'il venait de battre . Le tueur au canon se tourna ver Hitsuro et se dirigea ver lui pour lui asséner un coup de poing . Il savait donc se servir de ceux-ci .

Hitsuro avait encaisse le coup consciemment , en effet en temps normal il aurait facilement évité un coup aussi faible sans même y faire attention , si il s’était pris le coup c’était pour mieux comprendre a qui il avait a faire . Et ce coup confirma ce que pensais Hitsuro : cette homme était bel et bien un tueur chevronné et d’après son petit discours il était aussi le gardien du soleil de Genki . Mais il était la selon les ordres du vieux . Pourquoi le vieux voulait il que Genki devienne le boss de la dixième génération ?

Avec toute ses interrogations dans la tète Hitsuro n’écouta pas ce que lui dit l'homme avant de se retire. Hitsuro était donc tout seul avec ses interrogations . Quoiqu'il en soit cette histoire de gardiens et de dixième génération ne plaisait pas a Hitsuro , comme si Genki allait être son boss .
Ce n’était que son frère et si il avait envie de faire son business avec la mafia c'était ses affaires , Hitsuro serait son gardien seulement parce que ça lui permettra d’accomplir sa vengeance et d'obtenir l'anneau du nuage Beniko .

Hitsuro pris le chemin du manoir , la nouvelle base . Cette idée était amusante , cela faisait bien longtemps qu'il n'y avait pas mis les pieds . Sur le chemin Hitsuro pensa au anneaux et il se rappela des Hell Rings , ces anneaux qui augmentait le pouvoir de combat de leur utilisateur mais celui ci devait en contre partie « donner son âme au diable » . en tout il y avait six de ses anneaux maudit , et Hitsuro savait ou se trouvait l'un d'eux , son maître lui avait dit , mais il lui avait fais promettre de ne jamais s'en servir  .

« Hum après tout j'en ai besoin pour la bataille a venir »

Une fois arriver au manoir il s'aperçut avec stupéfaction que celui-ci avait été refait a neuf . Qui avait bien pu faire ça ? Hitsuro rentra dans le manoir et y trouva l'homme au canon et le lycéen au sabre , visiblement ces deux la allaient se battre , Hitsuro les ignora et décida d'aller voire son ancienne chambre . Quand il y arriva il rentra dedans , cette chambre ne représentait plus rien a ses yeux a par son envie de vengeance , c’était décidé il irait chercher l'anneau maudit en Italie le soir même après tout avec son attribut du Nuage l'argent n’était pas un problème , Hitsuro était comme un Midas des temps moderne sauf que lui ne transformait pas les choses en or mais multipliait les billets . C’était décidé Hitsuro pris donc un billet le multiplia jusqu'à ce qu'il juge qu'il avait assez d 'argent puis il appela un taxi . Quand celui-ci arriva Hitsuro lui demanda de l'emmener a l'aéroport . Puis il prit un billet pour Italie , pour Firenze … et pour le Hell Ring .